Suite au scandale dit du « sexe contre de bonnes notes » qui a récemment secoué les universités nigérianes, le Sénat est en train d’étudier un projet de loi visant à promulguer une loi punissant les coupables.
Si l’initiative est acceptée, le projet de loi sur le harcèlement sexuel, qui a été adopté en deuxième lecture mercredi dernier, permettra de condamner les coupables à 14 ans de prison ferme.
Source:
Agence de presse Africaine